"Le Plaisir de vivre" d'Anne Ancelin Schützenberger
p.145/p.146
"Le cancer tue moins que la crise cardiaque et pourtant il fait beaucoup plus peur".
"Ceux qui guérissaient très bien, c'étaient les gens qui sortaient de l'angoisse, de l'impuissance devant l'inéluctable, du sentiments d'impuissance et d'absence d'espoir, de la sidération-dépression, en rattachant le cancer à des faits objectifs qui leur étaient arrivés, à des événements de vie"
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