Dr Ryke Geert Hamer
Une "autre piste" à connaître.
De même que pour les travaux de Mirko Beljanski je tiens à rappeler ma position : « garder l'esprit ouvert et étudier toutes méthodes alternatives sans jamais refuser ce que propose la médecine officielle (une opération, une chimiothérapie, une radio-thérapie peuvent vous sauver la vie.)
Faire attention aux décisions prises en période de fragilité, de vulnérabilité. Attention aussi à ceux qui d’emblée vous parlent d’arrêter un traitement en cours, parlez-en à votre oncologue. Je partage en ce domaine l’approche du psychanalyste «Guy Corneau » qui expose parfaitement cette dernière dans son livre « Revivre .» Il a vécu personnellement l’épreuve du cancer et celle d’accompagner un proche qui refusait la médecine officielle.
Pour ma part les travaux du docteur Hamer m'ont apporté réflexion sur "les causes psychologiques" possibles de ma maladie.
Le texte qui suit est édité sur ce site : (cliquez ICI)
Dr Ryke Geert Hamer
Ce médecin allemand découvre en 1979 que son cancer testiculaire a suivi le choc de l'assassinat inattendu de son fils Dirk alors âgé de dix-neuf ans.
Il examine 170 dossiers de patients et découvre qu'ils ont tous vécu un choc émotif important avant l'apparition de leur cancer.
Il a poursuivi ses recherches sur plus de 15.000 cas et a découvert quatre lois biologiques:
1. La loi des relations psycho-cérébro-organiques
- Toute maladie du cancer débute par un DHS (Dirk Hamer Syndrom), c'est-à-dire, un choc conflictuel extrêmement brutal, dramatique et vécu dans l'isolement, qui à l'instant du DHS provoque au cerveau un foyer de Hamer et le démarrage du cancer dans l'organe.
- A l'instant du DHS la teneur du conflit détermine aussi bien la localisation du foyer de Hamer au cerveau que la localisation de la tumeur cancéreuse dans l'organe.
- A partir du DHS, il y a corrélation entre l'évolution du conflit, celle de la modification du foyer de Hamer au cerveau et celle de la tumeur cancéreuse dans l'organe.
Par conflit, le docteur Hamer mentionne, non pas un conflit de type psychologique, au sens psychiatrique, mais un conflit biologique.
Sa définition du conflit s'adresse aussi bien à l'animal, à l'homme qu'au végétal.
Il s'agit donc d'un choc qui arrive à l'improviste et qui touche d'abord l'organisme et seulement ensuite le psychique qui lui le colore à sa manière.
Lorsqu'il mentionne qu'un cancer du sein gauche, chez une droitière non ménopausée, est provoqué par un DHS mère/enfant, il mentionne la façon dont a été vécu le conflit.
Ainsi, si la patiente a eu un conflit avec son mari et qu'elle considère ce dernier comme un enfant, la coloration est celle du DHS mère/enfant.
Un autre exemple. Une femme qui, d'une manière imprévue, surprend son époux en flagrant délit d'adultère ne va pas forcément vivre un DHS sexuel et développer un carcinome du col utérin. Elle peut vivre ce drame comme un profond sentiment de dévalorisation et développer un cancer des os du bassin ou vivre cela comme une trahison et développer un cancer du sein droit (une blessure plus profonde, plus intériorisée, se traduira par un cancer de la plèvre droite. Si elle est ménopausée (donc hormonalement masculine)et qu'elle vit ce drame comme un conflit de territoire, elle pourra développer un carcinome bronchique. Si elle ressent cela plutôt comme une "cochonnerie" elle développera un carcinome de la vessie. Si elle se sent souillée, se sera un cancer de la peau, etc…
Que se passe-t-il lors du DHS?
Dès que le conflit imprévu a touché la personne, l'organisme se branche immédiatement sur le système nerveux autonome orthosympathique : le système nerveux de l'action et du combat. C'est la phase dite de sympathicotonie.
L'organisme tourne alors à plein régime pour trouver une solution, au détriment de la détente, du repos et du besoin de s'alimenter.
Pendant qu'il est absorbé par son conflit, il y a élévation de la pression artérielle, accélération des rythmes cardiaques et respiratoire, ralentissement de la motilité (mouvement) du tractus digestif et de la sécrétion des glandes intestinales.
Le regard est fixe, les mains sont glacées et moites.
Au même moment, un endroit précis du cerveau est sollicité et cette zone cérébrale responsable d'une activité précise du corps enclenche un processus particulier en relation avec l'embryogenèse pour tenter de solutionner le conflit.
Il s'agit d'une solution archaïque de l'organisme utilisée au début de l'évolution des espèces pour survivre et s'adapter à un environnement menaçant.
C'est l'apparition des premières cellules cancéreuses.
2. La loi des deux phases de la maladie
Toute maladie est biphasique dans son évolution biologique.
Cette dualité dans l'évolution des maladies avait déjà été appréhendée dans le passé lorsque les médecins parlaient alors de maladies froides et de maladies chaudes.
En fait, il y a deux types de maladies ou, plus exactement deux types de symptômes. Une série de symptômes sont en relation avec des réactions biologiques provoquées par le DHS et sont classées parmi les maladies froides. D'autres pathologies ont été considérées comme des maladies chaudes alors qu'il s'agissait tout simplement de symptômes provoqués pendant la phase de guérison.
Le Dr Hamer nous vient en aide grâce à sa découverte et nous permet de comprendre qu'il s'agit en fait d'un processus biologique normal de notre système nerveux autonome.
Ce système est double.
Le système nerveux sympathique régit ce que nous pourrions appeler la fonction de l'action et du combat. C'est lui qui nous permet de créer les hormones capables de nous pousser à l'action, qu'il s'agisse de nous défendre ou de nous enfuir.
Le système parasympathique aide notre organisme à se mettre au repos et à réparer les dégâts du stress. Cela ne se fait pas sans inconvénient et inconfort. Ainsi, la fièvre est un des processus de guérison et sa gestion convenable permet le retour à une santé normale.
Utilisons une image. Si vous êtes agressé chez vous, il ne vous reste plus, si vous ne voulez pas mourir, qu'à vous défendre ou réussir à vous enfuir. Pendant votre siège et votre combat pour la vie, votre cerveau va obliger votre corps à vous donner toute l'énergie pour vous défendre en retirant l'énergie aux endroits qui ne sont pas indispensables. Plus question de manger et de dormir, les extrémités des membres deviennent froides. Vous êtes, ce que l'on appelle en sympathicotonie. Le stress est maintenu pour permettre le combat. Dès que la guerre est terminée, il va falloir réparer les dégâts dans les habitations, se restaurer et dormir pour récupérer. De même un stress psychique peut être vécu comme une guerre. Tant que le combat n'est pas terminé, il n'est pas possible de réparer.
Dès que le stress se termine, il y a inversion du système nerveux et l'organisme se branche sur le système parasympathique.
Le patient qui avait alors les mains glacées dû au stress s'aperçoit que ses mains sont bouillantes, qu'il a faim et qu'il n'a plus qu'une envie, celle de dormir. De plus, pendant les réparations par les ouvriers biologiques, amenés par les voies fluviales, il y a une période d'inconfort et de perturbation avant de retrouver le calme après la tempête.
Pendant cette période, la plupart des symptômes sont considérés comme des aggravations.
Suivant le type de tumeur et sa localisation, les réactions peuvent être alarmantes pour le patient et le corps médical qui ne connaissent pas la loi biphasique des maladies de la Médecine Nouvelle du Dr Hamer.
Si la peur apparaît à ce stade, les ouvriers, croyant que le traité de paix a été baffoué, s'arrêtent de réparer. La guérison est ralentie ou arrêtée selon l'intensité du stress.
3. La loi des symptômes des deux phases de la maladie.
Pendant la gestation le cerveau est constitué de quatre feuillets embryonnaires. Tous les organes du corps sont en relation avec ces quatre feuillets et les quatre parties du cerveau correspondantes : le tronc, le cervelet, la moelle et le cortex.
Selon que le conflit est dans sa phase
non solutionnée (active) ou
solutionnée (passive) il y a aura soit une
augmentation (+) de la masse, soit
diminution (-), par exemple, ulcère ou nécrose.
Pour le cortex, se sera soit un
arrêt (-/Off), soit une
aggravation (+/On) de la fonction.
4. La loi du système ontologique des microbes
Le docteur Hamer apporte ici également une révolution en plaçant ce système en relation avec les trois feuillets embryonnaires.
1. Les microbes archaïques, à savoir les champignons et les micobactéries, sont à mettre en relation avec l'endoderme, et, jusqu'à un certain point avec le mésoderme cérébelleux pour tous les organes régis par le tronc cérébral (bulbe rachidien, pont, mésencéphale et cervelet).
2. Les microbes anciens, à savoir les bactéries, sont à mettre en relation avec le mésoderme et tous les organes qui en sont constitués.
3. Les microbes jeunes, à savoir les virus, qui à proprement parler ne sont pas de vrais microbes, c'est-à-dire pas des êtres vivants, sont à mettre en relation avec l'ectoderme, pour les organes régis par le cortex.
Seule exception à cette règle : la zone limitrophe des organes mésodermiques régis par le cervelet, qui sont traités aussi bien, et principalement, par les champignons parasites et les micobactéries que, moins fréquemment, par les bactéries, qui normalement sont à mettre en relation avec le mésoderme régi par la moelle du cerveau.
Les microbes que nous avions toujours pris pour des « ennemis », cherchant à nous anéantir, s'avèrent ici de précieux auxiliaires. Ils sont les éboueurs et les restaurateurs bienfaisants de notre organisme. Ils ne se mettent au travail que sur ordre du cerveau lorsque la phase de stress est terminée.
Dans la phase sympathicotonique, alors que le système immunitaire est déficient, nous ne trouvons pas d'activité microbienne.
Dans la phase vagotonique, alors que le système immunitaire tourne à plein régime (fièvre, leucocytose, etc.) les microbes ne sont pas le moins du monde incommodés et continuent à faire leur boulot allègrement. Ces mêmes microbes, alors « apathogènes » dans la phase de stress devenaient soudain « pathogènes » et extrêmement virulents lorsque le stress cessait.
Il existe trois sortes d'ouvriers:
- ceux qui ont pour mission d'enlever les ordures (éboueurs), par exemple, le mycobactérium tuberculosis, qui déblaie les tumeurs intestinales du feuillet endodermique pendant la phase vagotonique.
- ceux qui nivellent le terrain et sont chargés de boucher les cratères. Par exemple, les virus, qui ont pour mission de combler les pertes de substance. On ne trouve d'ulcère et de virus que dans la seule phase de guérison et uniquement dans les organes ectodermique.
- ceux qui ne « traitent » jamais que des organes détériorés (nécrosés, ostéolysés) du feuillet mésodermique et que nous pouvons considérés, dans la phase vagotonique, comme des buldozers qui déblaient les décombres pour que l'on puisse construire une maison, c'est-à-dire pour que l'organisme puisse se rebâtir sur de solides assises.
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